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Avec la digitalisation, et notamment l’apparition des plateformes de financement, de plus en plus d’actifs de toutes natures, sont devenus directement accessibles aux investisseurs. Et ceci pour des tickets unitaires beaucoup plus abordables grâce à la mutualisation. L’immobilier se prête particulièrement à cette approche. Parmi les solutions proposées, l’immobilier fractionné se développe assez fortement. Retour sur cette nouvelle offre.
L’immobilier a toujours été - à raison - populaire chez les épargnants et investisseurs français. Si le taux de propriétaires a tendance à stagner depuis plusieurs années (avec un pic aux alentours de 60%), acheter sa résidence principale reste un objectif pour beaucoup de Français.
L’immobilier locatif, classiques en location nue, ou via des programmes fiscaux ou des positionnements spécifiques (location meublée, location saisonnière type Airbnb) a également fait les beaux jours des investisseurs.
Cela implique cependant plusieurs conditions : avoir du temps, à la fois pour s’en occuper, mais aussi pour attendre une liquidité qui ne sera pas immédiate, par ailleurs disposer d’un budget conséquent. Cela est devenu souvent difficile avec les contraintes sur l’accès au financement, la hausse des apports demandés et la hausse des taux qui rend le coût du financement parfois rédhibitoire et l’avantage de l’effet de levier tout relatif. Par ailleurs, avec la hausse continue du prix des actifs, les rendements locatifs ont été considérablement réduits dans la majorité des cas.
Pour ceux qui préfèrent déléguer et diversifier, les SCPI est souvent une solution, mais avec certains désavantages : des frais importants, l’impossibilité de choisir soi-même les actifs, certaines classes d’actifs telles que le résidentiel sous-représenté.
Le crowdfunding immobilier a ajouté une nouvelle corde à l’arc des investisseurs permettant d’investir indirectement sur l’immobilier, mais d’une façon indirecte en finançant des professionnels de l’immobilier (marchand de biens, promoteurs, foncières…). A la clé dans la grande majorité des cas : un revenu liés à des coupons d’une émission obligataire à taux fixe, une absence d’IFI et une imposition à la flat-tax, une quasi-absence de frais et une liquidité contractuelle liée à l’échéance de l’obligation.
Une nouvelle variante vient de faire son apparition : l’immobilier fractionné. Le principe est de prêter à un véhicule ad hoc :
L’immobilier fractionné présente plusieurs avantages pour un investisseur :
Si les modalités pratiques varient parfois légèrement suivant les offres du marché, la bonne pratique veut que :
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Différents types d’actifs peuvent être adapté pour ce type d’investissement :
L’investisseur va viser un rendement issu à la fois du rendement locatif annuel (coupon lié au loyer net perçu annuellement), et une éventuelle plus-value à la revente. La combinaison des deux constituant le rendement net global.
Généralement, les actifs proposent des rémunérations cibles de l’ordre de 7% par an minimum (modulables en fonction du risque). A ce titre, différents types d’actifs semblent particulièrement adaptés :
Comme tout investissement, l’immobilier fractionné n’est pas sans risque.
En premier lieu, tout dépend de la qualité de l’actif mais également du gestionnaire qui s’occupera du bien.
Par ailleurs, les modalités contractuelles : rémunération, liquidité, autorisation liées à l’exploitation doivent être bien cadrées. Certains acteurs ne proposaient par exemple que de simples contrats de royalties (ou revenue sharing) ne donnant pas réellement accès à la propriété des actifs…
Plusieurs difficultés peuvent se présenter :
Outre les flux intermédiaires liés aux coupons, la revente du bien (net de frais éventuels) permettra de récupérer le capital. Il est cependant difficile de prévoir les conditions de marché (taux de capitalisation exigé, prix à m2…)
Par ailleurs, si certains opérateurs présentent des possibilités de liquidité intermédiaire (via une revente des parts en secondaire avec échéance) les modalités pratiques et la réalité de cela ne sont pas forcément évidentes. Sinon en ce qui concerne la liquidité finale (à la revente du bien), comme pour tout investissement, il y a une incertitude - et dans le cas présent un manque de recul - cela dépend des conditions de marché et de la qualité du gestionnaire.
Il est important de garder à l’esprit que comme tout investissement, il y a un risque de perte en capital. “Bien acheter” est donc un point clé pour faciliter une revente ultérieure..
Un investissement en immobilier fractionné bien structuré et mis en œuvre peut cependant permettre de viser un rendement annuel supérieur à 7%, sans contraintes chronophages. Par ailleurs, les modalité d’investissement permettent de moduler les montants investis et de diversifier ses investissements et son risque entre plusieurs projets.Alternatives et comparatif à l’immobilier fractionné
L‘idée de mutualiser les investisseurs sur un même actif n'est pas nouvelle. De la simple SCI à la SCPI, il est possible de partager la propriété ou l’usage d’un bien entre plusieurs propriétaires, éventuellement dans le cadre d’une gestion déléguée.
La digitalisation a cependant considérablement facilité les choses : possibilité d’utilisation de la blockchain pour fractionner un actif (tokenisation) ou simplement mise à disposition provisoire d’un bien à la location via des applications telles que AirBnb. Récemment, certaines plateformes avaient même proposé de nouveaux modes de “property sharing”.
On peut comparer à d’autres types d’investissement :

En ce qui concerne la liquidité, celle-ci peut-être contractuelle (cas des obligations) mais dans tous les cas soumise aux conditions de marché à la sortie qui permettront de dénouer les deals et de revendre les actifs sous-jacents. Dans le cas des SCPI selon la surface du gestionnaire et du véhicule et le type de SCPI, la revente des parts sera plus ou moins aisée.
L’immobilier fractionné présente un potentiel de développement à plusieurs titres :
Publication originale de le 26 February 2024 mise à jour le 19 March 2024