Selon votre situation personnelle et le type de placement que vous privilégiez votre fiscalité va évoluer. Certains types d’investissement (immobilier notamment) peuvent intégrer des produits permettant une optimisation fiscale. La fiscalité ne doit cependant pas être l’unique motivation pour investir.
L’immobilier est l’un des placements favoris des français. Pourtant la fiscalité immobilière est parfois lourde et peut concerner à la fois la détention (frais d’enregistrement, taxe foncière, IFI…), la cession (plus-value) ou les produits (revenus fonciers). L’immobilier (en direct ou indirect) permet cependant de profiter de nombreux dispositifs fiscaux, et les plus-values sur la résidence restent exonérées en France.
En savoir plusLes SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) sont un moyen indirect d’investir dans des actifs immobiliers. Ils permettent d’investir pour des montant adaptés à chacun dans en ensemble d’actif immobilier géré par des professionnels. Leur fiscalité suit celle du « régime foncier ».
En savoir plusLe « Pinel » est un dispositif permettant de défiscalisée une partie du prix payé pour l’acquisition de logements neufs (ou en VEFA) ou anciens rénovés. Visant les « zones tendues » où l’offre de logements reste insuffisante, Il est assortit d’un engagement durable de mise de location à conditions spécifiques (niveau de loyer, revenu du locataire).
En savoir plusLe dispositif Malraux permet des économies d’impôt significative dans le cadre de la réhabilitation d’immeubles anciens, situés dans des quartiers historiques faisant l’objet de ce dispositif spécifique. Son objectif est la préservation des centres-villes historiques et l’augmentation de l’offre locative. Il implique un engagement durable de mise en location de la part du bénéficiaire.
En savoir plusL’assurance-vie, plébiscitée par les français, permet un accès à large éventail d’actif via une enveloppe fiscal à part. Sa fiscalité à été en partie réformé en 2018, elle conserve cependant de nombreux atout notamment en termes de transmission du patrimoine.
En savoir plusLes français expatriés à l’étranger continuent souvent d’investir ou de détenir des actifs en France. Souvent non-résidents fiscaux ils peuvent cependant continuer à être partiellement concernés par la fiscalité française.
En savoir plusAvec la mondialisation de plus en plus de personnes sont concernées par le statut de « non-résident » dans le cadre d’opérations réalisées à l’étranger. La « résidence-fiscale » d’un contribuable dépend de plusieurs facteurs et elle influe sur le calcul de son imposition. Les « conventions fiscales » qui sont des accords cadre entre deux pays, permettent de régler les problématiques transnationales et d’éviter les doubles impositions.
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La fiscalité est un sujet souvent complexe obéissant à des textes précis. Notamment pour les plus haut-revenus et lorsque les niveaux de prélèvement sont élevés, elle reste un élément non négligeable à prendre en compte. Certains schémas incitatifs visent à orienter les investisseurs vers certains types d’actifs (détention longue, immobilier…). Cependant la fiscalité ne doit pas être la seule motivation d’un investissement au détriment de la qualité (l’environnement fiscal peut par ailleurs évoluer plus ou moins défavorablement au cours du temps).
Souvent chercher à optimiser sa fiscalité, implique des contreparties et impacte les conditions dans lesquelles on réalise les investissements (montant, montage, type d’actifs, durée de détention…). Il existe plusieurs optiques dont on peut bénéficier : une réduction fiscale « à l’entrée » (crédit d’impôt direct) ou « à la sortie » (réduction ou exonération de l’impôt sur la plus-value), avec de manière générale la possibilité d’imputations diminuant la base imposable ou les impôts sur les produits générés. L’optimisation peut également s’inscrire dans une démarche de transmission du patrimoine. Chaque schéma peut être optimisé en fonction de la situation de chacun.
La fiscalité du crowdfunding est relativement simple : pour les résidents français investissant en direct, il est imposé via le régime des revenus mobiliers à la flat-tax de 30% (12,8%+17,2% de CSG-CRDS). Dans le cadre du crowdfunding equity (investissement au capital de PME) il est possible de bénéficier de réductions d’IR sur la base du montant investi. Si vous êtes non-résident, la fiscalité variera selon votre résidence fiscale.
Pour tout investisseur, la fiscalité est un élément clé à prendre en compte.
En effet outre les pertes éventuelles, l’impact fiscal est le deuxième élément qui impactera le rendement brut et définira votre redement.
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