Menez votre entreprise plus loin
Alors que les Français constatent chaque jour avec amertume l'état de la croissance française et mondiale, la croissance des PME ne semble pas, elle, suivre la même tendance. Elle semble même décorrélée des indicateurs macro-économiques habituels. Nous avons tenté de comprendre pourquoi.
Christophe Alves, le dirigeant de Earthmakers Consulting répond aux questions des investisseurs de WeShareBonds, livre un témoignage sur son parcours et présente les raisons derrière le choix de WeShareBonds pour financer sa PME.
De nombreuses PME voient leur activité fortement impactée par la crise sanitaire, ce qui les incite à protéger autant que possible leur trésorerie. Ceci passe notamment par l’utilisation des mesures mises en place par le gouvernement afin de réduire le coût de la masse salariale avec le chômage partiel, et de renflouer les caisses avec les reports de charges fiscales et sociales et le PGE. Sur notre plateforme WeShareBonds, de nombreuses entreprises que nous avons financées ont demandé un report d’échéance, ce qui a nécessité la convocation d’assemblées générales des obligataires. Comme pour un crédit bancaire, cette demande de report permet de décaler un certain nombre d’échéances à venir afin de permettre une respiration de la trésorerie de l’entreprise.
La croissance est de retour et les PME affichent un bon dynamisme en 2017, mais quelles sont les décisions nécessaires à prendre en période de croissance pour développer son entreprise ? Découvrez dans cet article de blog le constat effectué sur la croissance des entreprises et, les leviers à actionner pour stimuler son développement.
WeShareBonds, la plateforme de prêt aux PME, s’appuie sur l’intelligence artificielle pour lancer la première offre de crédit 100% automatisée. L’objectif ? Permettre aux dirigeants de PME en recherche de financement d’avoir une première réponse en quelques minutes. Découvrir l'infographie.
L’analyse crédit est effectuée systématiquement, pour chaque projet, par un analyste évaluant la capacité de la PME en question à rembourser le prêt qui lui est accordé, en établissant son diagnostic financier. Le terme de ‘valeur ajoutée’ est certainement le bon terme, car il exprime bien ce surcroît de valeur pouvant sublimer l’analyse crédit. Il est par ailleurs amusant de le rapprocher de « foule », un terme plus « péjoratif » en français, qui par une traduction maladroite ferait oublier ici sa vraie résonance, à savoir un travail collaboratif qui démultiplie les capacités de l’analyse crédit. La foule en ce sens est un peu comme un ordinateur qui jouerait aux échecs contre l’émetteur, et qui pourrait se brancher en temps réel sur 1.000.000 d’autres ordinateurs pour tester 1.000.000 de combinaisons, ce qui le rendrait imbattable.
Cela étant dit, pour WSB, cette question n’a de sens que si une plateforme fournit à ses clients, notamment particuliers, autrement dit « la foule », un avis détaillé qui s’appuie sur des éléments d’analyse crédit quantitative et qualitative, clairs et objectifs.
Chaque année, 50.000 sociétés font l'objet d'une liquidation judiciaire. Avant d'en arriver là, il existe heureusement différentes procédures visant à rétablir la situation. Plan de sauvegarde, redressement judiciaire, liquidation... WeShareBonds vous propose une explication sur les procédures collectives pour enfin tout comprendre des difficultés rencontrées par les entreprises.
Avec le Covid-19, nombre d’activités « non-essentielles » ont été fermées de manière administrative. Au-delà du cadre habituel, ce sont des mesures spécifiques exceptionnelles à vocation temporaire qui ont été mises en place. L’adaptation progressive de ces mesures pour permettre une vraie reprise sera sans doute au cœur du débat combinant dimension sanitaire et économique, alors qu’un plan de déconfinement le 11 mai doit être annoncé en France.
Les banques françaises se mobilisent pour palier aux conséquences économiques de l’épidémie de coronavirus. La Banque Postale face au coronavirus à décider de soutenir ses clients professionnels et entreprises durant cette crise. Par exemple, en accélérant les demandes de financement à court terme, ou bien en différant gratuitement les échéances de crédits.
Dans le contexte actuel, nous mettons en place un annuaire des contacts face au coronavirus pour faciliter votre recherche en fonction de vos besoins. Nous vous indiquons ici comment rentrer en contact avec les différents interlocuteurs mobilisés dans le cadre des mesures prises contre le coronavirus pour les PME.
Afin d’éviter que la crise liée à la pandémie du coronavirus ne perdure, les banques françaises se doivent d’agir. La plupart soutiennent déjà leurs clients les plus à risque : en accélérant par exemple leur demandes de financement à court terme, ou bien en différant gratuitement les échéances de crédits.
Crédit Agricole et LCL face au coronavirus ont publiées des premières mesures de soutiens à leurs clients professionnels et/entreprises pour les prochains mois.
L’ordonnance n°2014-559 du 30 mai 2014 n’avait pas eu l’impact escompté sur les souscriptions d’assurance responsabilité civile professionnelle par les acteurs du financement participatif, IFP et CIP. L’incapacité des assureurs à proposer une offre en adéquation avec les risques du marché avait jusqu’alors repoussé l’entrée en vigueur de la loi. Aujourd’hui tous les éléments sont réunis, et l’ORIAS rappelle à l’ordre les 85% de mauvais élèves du financement participatif.
Avec 40.000 agences, le tissu bancaire français est un des plus développés au monde. Cependant, ce secteur n’échappe pas aux effets de la digitalisation. L’émergence des banques en ligne a profondément transformé les pratiques des clients. Aujourd’hui, plus de la moitié d’entre eux effectuent leurs opérations bancaires directement en ligne ou par le biais des applications mobiles de leur banque.
Face aux conséquences économiques de la crise du Coronavirus, les banques françaises se mobilisent. Dans le cadre des mesures bancaires annoncées, nous avons choisi de détailler les principales mesures de BNP Paribas face au Coronavirus, à destination de ses clients professionnels et entreprises.
La crise actuelle amène de nombreuses sociétés à essayer d’optimiser leur trésorerie. Les acteurs du financement, qu’ils soient prêteurs ou emprunteurs, sont amenés à se poser pour évaluer les situations, discuter et amener des modifications éventuelle aux contrats qui les lient. La restructuration de dette peut également se faire dans des contextes favorables, via des refinancements destinés à profiter des conditions de marché avantageuses. Retour sur quelques éléments de vocabulaire.
Le 28 avril le plan de déconfinement a été présenté par Édouard Philippe, à l’Assemblée nationale. Ce plan prévoit une fin du confinement et des attestations dérogatoires le 11 mai, suivi par une seconde phase le 2 juin.
Samedi 2 mai, le gouvernement a notamment proposé de prolonger l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 24 juillet et a éclairci le cadre du déconfinement lors d’un Conseil des ministres extraordinaire. L’examen de ce projet de loi est prévu lundi 4 mai au Sénat et mardi 5 mai à l’Assemblée nationale, en vue d’une adoption définitive dans la semaine. En voici les principales mesures :
Les conflits entre les professionnels du secteur du BTP et le gouvernement ne cessent de croitre depuis le début de la crise sanitaire liée au Covid-19. L’impact du Coronavirus dans le BTP se fait sentir. Entre volonté de protection des salariés et promotion du maintien de l’activité, le discours du gouvernement n’aide pas toujours à clarifier la situation. Dans son annonce du 24 mars, Bruno Le Maire a conforté la volonté des autorités de maintenir “ un service économique minimum” sans préciser toutefois à quel point le secteur du BTP, jugé essentiel, serait concerné.
La banque HSBC vient d’annoncer une vague de licenciement de 35,000 postes. Depuis 2019, le secteur bancaire a prévu la suppression de près de 100,000 postes dans le monde, notamment en Europe. Les banques se retrouvent face à un nouvel environnement économique et réglementaire qui pèse sur leur business-model et leur rentabilité. Fintechs et GAFAM redéfinissent les métiers (de l’octroi de crédit aux paiements) et les normes de la relation client pour les banques. Les banques devront relever notamment le défi de la digitalisation.